vendredi 22 avril 2011

Du recopiage

Dans la vie, j'aime beaucoup l'écriture. L'écriture des autres, c'est à dire la lecture, mais auusi écrire moi-même. Effectivement, j'écris des trucs (quoi, vous le saviez pas ? Allez vite ici !), des nouvelles et des poèmes. Mais mon "problème si on peut l'appeller comme cela c'est que je n'ai quasiment jamais rien écrit directement à l'ordinateur. Je passe toujours par un manuscrit. Et comme j'écris mal (illisible, croyez-moi), je suis forcé de passer par cette douloureuse étape qu'est le recopiage. Fastidieuse, elle l'est, en particulier ces temps-ci où je me suis mis à recopier un manuscrit d'une trentaine de pages (et qui n'est pas fini !).
Les deux points que je voudrais soulever sont : le fait de recopier a beau être lourd, dès que l'on est plongé dedans, on se retrouve à écrire sans lire le manuscrit et j'arrive à rajouter parfois des passages entiers que je n'avais pas écrit. Et cela arrive à démultiplier le nombre de pages : auparavent, j'avais à peu près une équivalence stable de un recto-verso manuscrit contre un recto Word. Là, j'ai tapé 15 pages de manuscrit et je suis à 24 pages sur Works ! Bon, il faut dire que la mise en page augmente la taille mais là, ça fait 50% de bonus !
Si vous avez connu des experiences similaires, n'hésitez pas à me le faire savoir.

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