vendredi 22 avril 2011

Du recopiage

Dans la vie, j'aime beaucoup l'écriture. L'écriture des autres, c'est à dire la lecture, mais auusi écrire moi-même. Effectivement, j'écris des trucs (quoi, vous le saviez pas ? Allez vite ici !), des nouvelles et des poèmes. Mais mon "problème si on peut l'appeller comme cela c'est que je n'ai quasiment jamais rien écrit directement à l'ordinateur. Je passe toujours par un manuscrit. Et comme j'écris mal (illisible, croyez-moi), je suis forcé de passer par cette douloureuse étape qu'est le recopiage. Fastidieuse, elle l'est, en particulier ces temps-ci où je me suis mis à recopier un manuscrit d'une trentaine de pages (et qui n'est pas fini !).
Les deux points que je voudrais soulever sont : le fait de recopier a beau être lourd, dès que l'on est plongé dedans, on se retrouve à écrire sans lire le manuscrit et j'arrive à rajouter parfois des passages entiers que je n'avais pas écrit. Et cela arrive à démultiplier le nombre de pages : auparavent, j'avais à peu près une équivalence stable de un recto-verso manuscrit contre un recto Word. Là, j'ai tapé 15 pages de manuscrit et je suis à 24 pages sur Works ! Bon, il faut dire que la mise en page augmente la taille mais là, ça fait 50% de bonus !
Si vous avez connu des experiences similaires, n'hésitez pas à me le faire savoir.

jeudi 7 avril 2011

D’un pilote automatique, du subconscient pseudo-refoulé qu’on aimerait connaître et du lapsus qui peut vous foirer une journée

  Le seul problème du pilote automatique, c’est qu’il peut nous amener parfois dans des endroits dans lesquels on aurait pas voulu, à la base, mettre les pieds. Quand je parle de pilote automatique, c’est évidement une image pour représenter mon état dans mes relations avec un certain nombre de personnes. Par exemple, pour ne nommer personne, supposons qu’Albert soit un ami avec lequel j’enclenche le pilote automatique. Et bien, dès que je suis en présence d’Albert, je débranche le cerveau, et je me mets à répondre du tac au tac à ce qu’il dit, et à essayer de balancer des sujets de discussion plus ou moins abracadabrantesques. Et franchement, jusque là, ça a toujours super bien marché.
  Si vous avez lu mon article de février (ou si vous me connaissez), il faut que je précise qu’Albert est à 90% une fille (j’ai beaucoup d’amies filles avec qui je en réfléchis pas). Ce qui peut changer légèrement la donne. En effet, il peut alors se passer des trucs bizarres… Hier, j’étais avec Albert et, en plus de faire super chaud, j’étais totalement déshydraté. Et, sans réfléchir, j’ai demandé à Albert de partager sa salive avec moi. Mais Albert, pour l’occasion, était une fille (y avait 9 chances sur 10, ok). Et là, un message caché peu subtil et mal caché en fait apparait. « Mais non ! » avais-je envie de crier. D’ailleurs je l’ai fait, plus ou moins.
  Et le problème, c’est que maintenant, je me pose la question : Est-ce mon inconscient qui est allé plus vite que la musique, ou est-ce que j’ai tout simplement fait une étourderie comme j’en fais si souvent ? Parce que ça me ferais bien ch**r que mon inconscient fasse encore des siennes. J’aimerais tellement le connaître cet inconscient, parce que si lui a des désirs (parce que moi je me laisse plutôt faire), jke pourrais peut-être les réaliser. Enfin, bref.

P.S. : Albert, si tu te reconnais, ben, je sais pas.